Sous le signe des jémeaux

Une image qui sent bon la famille, le coq au vin et la tarte aux pommes. Un souvenir qui a le goût du bonheur simple et l'affection qui migeotte sur le piano. Et puis cette dualité incompréhensible : "Ce chien n'est pas à moi. Je le garde." Et pourtant ...

Et pourtant elles tournent

Auteur : Calou

Un homme heureux, qui comme notre ami Didier, vient d'acquérir un nouvel appareil photo.

L'éternel

Parce qu'il semble être là depuis la nuit des temps et qu'on l'imagine facilement être là, encore, pour nos enfants. Une image pour Didier, suite à son subtile billet à voir ici

Rencontres

Aller dans le même sens que l'autre n'invite pas forcément à la rencontre. Faut-il encore provoquer le moment, créer l'occasion pour qu'elle existe réellement.

Rendez-vous manqué

Il n'y a pas de hazard, il n'y a que des rendez-vous.

Paul Eluard

Vert

Auteur : Didier

Le chemin du pélerin

Perle

Mon invité : Didier, auteur de cette image

Bonnes nouvelles ?

Scène surréaliste. Image hors du temps. A quand cette presse joyeuse qui nous remplie de bonne humeur ? A quand l'information si gai qu'elle en devient conviviale ? Utopie sans doute. Un besoin, très certainement.

Empreintes

Plus le monde vielli, plus il est aisé de reconnaître l'homme derrière l'oeuvre. Il s'éloigne toujours un peu plus de la nature.

Télé ou réalité

C'est l'image du monde qui nous ait donnée à voir au travers de la télévision. Une lucarne. Une fenêtre ouverte sur la vie, nous laissant supposer que nous pourrions traverser l'image pour y pénétrer. Chose impossible bien sûr, car si nous pouvions, nous saurions enfin la vérité. Nous pourrions nous rendre compte que l'image est faussée, fabriquée. Nous pourrions voir ce qui n'est pas dit. Aller au-delà de ce qui nous est montré. Et mieux comprendre ce monde, enfin. L'image floue de la télévision est une fausse réalité. C'est un mensonge.

Intact ?

Dans ce déchirement, dans cette destruction, l'homme a été épargné. Ou plutôt, l'homme semble avoir été épargné. Mais je crois qu'au fond, comme à chaque fois, comme à chaque conflit, à chaque combat, l'homme s'abîme un peu plus. Et même si l'image reste belle, il est égratigné à l'intérieur. Un peu brisé, fragmenté. On se rassure avec cette image brillante, pour ne pas voir que dedans, c'est de plus en plus vide. L'homme a peur du vide.

Courage

Rien ne va plus. En ces temps douloureux, où le doute se glisse dans l'entrebaillement de la porte, où la lumière de l'espoir a grillé son filament, voilà que même ton sourire, que l'on croyait indestructible, s'éteint. C'est encore un peu de poussière d'optimisme qui s'envole. Tu n'as pas le droit de nous abandonner, Monsieur le Clown. On compte sur toi. Je sais, tu n'as pas toujours un rôle facile et encore moins aujourd'hui. Mais il faut bien comprendre que plus les circonstances s'acharneront à nous aigrir, plus nous attendrons de toi. Alors courage. Ecoute la musique des cris des enfants qui jouent dehors... rien n'est perdu.