Rien ne va plus. En ces temps douloureux, où le doute se glisse dans l'entrebaillement de la porte, où la lumière de l'espoir a grillé son filament, voilà que même ton sourire, que l'on croyait indestructible, s'éteint. C'est encore un peu de poussière d'optimisme qui s'envole. Tu n'as pas le droit de nous abandonner, Monsieur le Clown. On compte sur toi. Je sais, tu n'as pas toujours un rôle facile et encore moins aujourd'hui. Mais il faut bien comprendre que plus les circonstances s'acharneront à nous aigrir, plus nous attendrons de toi. Alors courage. Ecoute la musique des cris des enfants qui jouent dehors... rien n'est perdu.
lundi 13 octobre 2008
Courage
Rien ne va plus. En ces temps douloureux, où le doute se glisse dans l'entrebaillement de la porte, où la lumière de l'espoir a grillé son filament, voilà que même ton sourire, que l'on croyait indestructible, s'éteint. C'est encore un peu de poussière d'optimisme qui s'envole. Tu n'as pas le droit de nous abandonner, Monsieur le Clown. On compte sur toi. Je sais, tu n'as pas toujours un rôle facile et encore moins aujourd'hui. Mais il faut bien comprendre que plus les circonstances s'acharneront à nous aigrir, plus nous attendrons de toi. Alors courage. Ecoute la musique des cris des enfants qui jouent dehors... rien n'est perdu.
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4 commentaires:
Ambiance sonore : cliquer sur mon prénom :-)
Décidément, il s'en passe souvent des bonnes dans les coins gauche des photos de ce blog ; (voir le billet http://frabox.blogspot.com/2008/09/apprendre-le-monde.html).
Sort-il de l'image petit à petit, ce clown ? Ou au contraire y entre-t-il mordicus ? Sa grimace est-elle un artifice ou une moue ? Est-il le doute qui s'installe ? L'espoir qui arrive ? Suit-il la trace de cette ligne blanche ? Et sur la droite, est-ce un colis fleuri qui tend le bras ?
Ce qui me rassure, c'est que mes cadrages ne sont donc pas le fruit du hasard !!!
Moi, j'avais plutôt l'impression qu'il était là, sans mouvement. Du coup, je me dit que tu avais sans doute raison, on lui a peut-être volé son âme, tout simplement !
... auquel cas son regard perdu chercherait cette âme hors le cadre ? Ou détourne-t-il la tête, pour ne point voir ? En tout cas, le titre "courage" collé avec cette photo ne cesse de m'interpeller. Mais je ne sais dire pourquoi.
Oui, c'est ça. Il l'a regarde partir. Peut-être qu'alors, le courage, c'est de chercher à vivre sans plutôt que d'essayer veinement de la faire revenir !
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